Tu vas nous manquer, David...
C’est peiné que je tape sur les touches de mon clavier aujourd’hui. La journée n’avait déjà pas très bien commencé, en me trompant de train pour me rendre à la fac… Puis c’est sur mon trajet que je reçois un sms m’apprenant le décès de David Bowie. Sur le coup je n’y crois pas. Pour moi, ça ne peut pas être vrai. Il y a quelques jours à peine il sortait son dernier bijou, Blackstar, un travail, dont je partageais l’enthousiasme avec vous chers lecteurs, d’ailleurs. Mais pourtant, c’est en me connectant sur Facebook, que je réalise qu’hélas, c’est bel et bien vrai. Il est parti.
À mon avis, les mots ne seraient que trop peu au moment où je vous écris, toujours sous le choc et ému, pour qualifier l’immense influence qu’a eu Bowie sur le monde de la musique, mais aussi sur le monde artistique en général. Il était un caméléon éclectique, un artiste étonnant en perpétuelle innovation. Son intemporelle et massive discographie compte bien des tubes, tout comme sa somptueuse vidéographie entres autres… À court de mots, je ne pourrais que trop lui souhaiter de rester en paix, et le remercier pour l’immense cadeau qu’il nous a offert et fait partager tout au long de ces décennies, celui de son talent, indéniable, inégalable et indémodable. David Bowie, un très grand merci à vous ! Vous nous manquerez !
Lewis